BIOGRAPHIES

Chaque animal a son histoire, en voici quelques unes…

Zeïa, la femelle caracal

En avril 2022, le Refuge de l’Arche a été sollicité par les services de l’État pour le placement définitif d’une femelle caracal, remise à la justice par son dernier propriétaire.

Née en 2019 en Afrique du Sud, elle a été exportée légalement en Allemagne à des fins commerciales. Elle a ensuite été importée en France où elle était détenue par des particuliers qui n’avaient pas les autorisations nécessaires pour la détenir. Le 03 mai 2022, l’équipe animalière est allée chercher le félin.

Il faut savoir que le caracal, tout comme le serval sont des animaux « à la mode ». Des personnes font des élevages et croisent des espèces sauvages avec des espèces domestiques. Nous commençons à avoir beaucoup de sollicitations, notamment pour le placement de servals. Originaire d’Afrique et d’Asie, le caracal est un très bon chasseur et s’apprivoise très bien. Cependant, il ne faut pas oublier que c’est un animal sauvage qui a besoin d’espace et d’un enclos sécurisé, car c’est un animal qui grimpe et qui saute à plus de deux mètres de hauteur !

L’équipe technique lui a donc aménagé des structures en hauteur ainsi que des cachettes afin qu’elle puisse retrouver ses instincts naturels et ainsi assurer son bien-être.

Lucas

Elle a été trouvée toute seule, alors qu’elle traversait un tronçon de route reliant les villes de Sangatta et Bontang à Bornéo. Les pompiers, qui patrouillaient dans la zone, l’ont repérée et l’ont amenée au parc national de Sangatta. Ils ont d’abord pensé à la relâcher dans la nature, mais heureusement, en constatant ses blessures et au vu de son état de santé, il est devenu clair pour eux que l’orang-outan avait besoin de plus de soins et que la relâcher seule dans la forêt compromettrait ses chances de survie.

Elle a été baptisée Lestari, ce qui signifie « éternelle » en indonésien. Bien entendu, à l’âge de trois ans, elle était beaucoup trop jeune pour être relâchée seule dans la nature, même si elle n’avait pas été blessée. Nous ne savons pas comment elle a perdu sa mère ni depuis combien de temps cette petite femelle était restée à la dérive, désorientée, en deuil, vulnérable et seule.

Zeïa, la femelle caracal

En avril 2022, le Refuge de l’Arche a été sollicité par les services de l’État pour le placement définitif d’une femelle caracal, remise à la justice par son dernier propriétaire.

Née en 2019 en Afrique du Sud, elle a été exportée légalement en Allemagne à des fins commerciales. Elle a ensuite été importée en France où elle était détenue par des particuliers qui n’avaient pas les autorisations nécessaires pour la détenir. Le 03 mai 2022, l’équipe animalière est allée chercher le félin.

Il faut savoir que le caracal, tout comme le serval sont des animaux « à la mode ». Des personnes font des élevages et croisent des espèces sauvages avec des espèces domestiques. Nous commençons à avoir beaucoup de sollicitations, notamment pour le placement de servals. Originaire d’Afrique et d’Asie, le caracal est un très bon chasseur et s’apprivoise très bien. Cependant, il ne faut pas oublier que c’est un animal sauvage qui a besoin d’espace et d’un enclos sécurisé, car c’est un animal qui grimpe et qui saute à plus de deux mètres de hauteur !

L’équipe technique lui a donc aménagé des structures en hauteur ainsi que des cachettes afin qu’elle puisse retrouver ses instincts naturels et ainsi assurer son bien-être.

Lucas

Elle a été trouvée toute seule, alors qu’elle traversait un tronçon de route reliant les villes de Sangatta et Bontang à Bornéo. Les pompiers, qui patrouillaient dans la zone, l’ont repérée et l’ont amenée au parc national de Sangatta. Ils ont d’abord pensé à la relâcher dans la nature, mais heureusement, en constatant ses blessures et au vu de son état de santé, il est devenu clair pour eux que l’orang-outan avait besoin de plus de soins et que la relâcher seule dans la forêt compromettrait ses chances de survie.

Elle a été baptisée Lestari, ce qui signifie « éternelle » en indonésien. Bien entendu, à l’âge de trois ans, elle était beaucoup trop jeune pour être relâchée seule dans la nature, même si elle n’avait pas été blessée. Nous ne savons pas comment elle a perdu sa mère ni depuis combien de temps cette petite femelle était restée à la dérive, désorientée, en deuil, vulnérable et seule.

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