La recherche met en évidence un fait étonnant dans un article publié dans The Conservation. En effet, les personnes atteintes du spectre de l’autisme éprouvent de grandes difficultés à lire les émotions de leurs congénères humains.
Or, ce ne serait pas le cas avec le reste des êtres vivants.

L’empathie, qui désigne notre capacité à comprendre et ressentir les émotions de l’autre, est un pilier de la qualité des relations interhumaines permettant alors coopération, compassion, entraide…

Lorsqu’elle fait défaut, elle conduit à des incompréhensions et à des conflits. Or, l’homme a su brouiller les pistes de sa propre communication émotionnelle et peut envoyer des signaux comportementaux parfois difficiles à interpréter par son prochain.

Alors que chez les autres espèces la communication semble moins facile par l’absence de la parole, l’expression des émotions est en revanche perçu comme plus transparente par les personnes atteintes de trouble du spectre de l’autisme.

Aussi, cette étude apporte des pistes de compréhension de ce trouble et contribue à la déconstruction de la distinction de l’homme parmi les autres espèces animales : l’animal humain, une espèce parmi tant d’autres.

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